“N’ayez pas peur de vous tromper ou de tâtonner au niveau boulot, c’est comme ça qu’on se trouve !”

 Oriane Derville, ancienne MASCI de la promotion 2010-2011, a accepté de répondre à nos questions! 

Pourrais-tu me parler de ton parcours pro depuis le MASCI ?

Après mon stage de fin d’études en 2011, je suis partie en Argentine pour perfectionner mon espagnol et avoir une expérience professionnelle à l’étranger. J’ai commencé par un boulot comme responsable de communication d’une petite boite de juristes, puis je suis passée par Philip Morris pendant quelques mois, comme coordinatrice internationale. Ça ne m’a pas trop plus, pas assez axé com. Je me suis mise à rechercher un boulot plus orienté planning, et j’ai trouvé ! Je suis en poste depuis un an dans une agence de marketing digital, en tant que planneur stratégique et c’est top!

 

Quel est le souvenir marquant de ton passage en MASCI ? En quoi ce master a-t-il été déterminant  pour toi?

M. Exartier, M. Brohmi et les copains de la JAM sont probablement mes meilleurs souvenirs. Le master a été déterminant pour moi car il m’a permis d’obtenir une solide formation de planneur ainsi qu’une bonne connaissance des langues. D’ailleurs, en vivant à l’étranger, on s’aperçoit que c’est vraiment un master unique en son genre !

Quelle est ta plus belle réussite professionnelle ?

Avoir pu dégoter un job de planneur dans un autre pays!

Qu’est ce qui te fait vibrer aujourd’hui dans la communication?

Les marques et les insights…que l’on recherche beaucoup dans la com digitale! Mais aussi la créativité!

 

La communication du futur pour toi ce serait quoi?

Une com axée sur les sens : Odorat/goût/toucher… C’est déjà le cas mais je pense qu’il faudrait encore plus les exploiter.

Quels sont selon toi les atouts pour être un bon communicant aujourd’hui ?

Être ouvert, curieux, ordonné et avoir une capacité de travail en équipe. Être ambitieux tout en respectant les autres.

 

Si tu avais à donner un conseil aux MASCI d’aujourd’hui lequel serait-il ?

Ne vous encastrez pas tout de suite dans une routine métro/boulot/dodo. Profitez des premières années post-diplôme pour voyager et faire des expériences ! Mon expérience en Argentine (depuis 2 ans maintenant) est la meilleure chose qui me soit arrivée et selon moi, on n’apprend jamais autant qu’en travaillant et en habitant dans un autre pays. C’est super enrichissant ! N’ayez pas peur de vous tromper ou de tâtonner au niveau boulot, c’est comme ça qu’on se trouve !

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